Les chroniqueurs de TPMP, Kelly Vedovelli et Benjamin Castaldi : Ardents défenseurs de la vape
Accusée d’avoir fumé sur le plateau de TPMP, Kelly Vedovelli a tenu à faire une petite mise au point : non, elle ne fume pas, elle vapote, et cela fait bien toute la différence… L’occasion pour elle et Benjamin Castaldi de rappeler les bienfaits de la vape. Et pour nous de tordre le cou à quelques idées reçues à propos du vapotage passif.
Vaper n’est pas fumer !
Direction les loges de TPMP. Après avoir été accusée de fumer en plateau sans se soucier du public, Kelly Vedovelli tient à mettre les choses au clair, via ses réseaux sociaux : “Je ne fume plus, je vape ! Il serait temps que les gossips se renseignent un peu avant d’écrire n’importe quoi. Et non, je ne me permettrai jamais de vaper en plateau ! Lorsqu’on m’a vue, il s’agissait en réalité d’un retour publicité.”
Kelly en profite, au passage, pour répondre à ses détracteurs : “A ceux qui m’attaquent et m’accusent de donner le mauvais exemple, il est temps de rétablir la vérité et de rappeler que le tabac tue 220 personnes chaque jour contrairement à la vape, qui fait ses preuves depuis plus de dix ans maintenant”.
Des dires confirmés par son acolyte, Benjamin Castaldi. L’animateur ne rate en effet jamais une occasion de faire l’éloge de la cigarette électronique, et pour cause : lui aussi est parvenu grâce à elle à ne plus fumer. Selon lui, “On peut dire ce que l’on veut, il vaudra toujours mieux vaper que fumer. Tout simplement parce que dans la vape, il n’y a pas de combustion.”
Et le vapotage passif dans tout ça ?
Loin du tabagisme passif, auquel sont exposés, en France, un million de personnes et qui est responsable de 3 000 à 5 000 morts par an, le vapotage passif n’existe pas. Telles sont les conclusions de plusieurs études sur le sujet.
Et la raison est simple : pour qu’il y ait vapotage passif, il faudrait être exposé suffisamment longtemps aux éléments dégagés dans l’air. Or une étude dirigée par le Dr Konstantinos Farsalinos en 2019 explique que les aérosols liés à la vape restaient dans l’air 10 à 15 secondes après avoir été expirés. Contrairement à la fumée de cigarette, et ses 4000 substances toxiques, dont 40 cancérigènes, toujours en suspension 45 minutes après avoir été émise.
Quoiqu’il en soit, dans une étude intitulée « Comparaison de l’aérosol de la cigarette electronique à celui des cigarettes ordinaires et de la chicha », le professeur Dautzenberg, de la Pitié Salpêtrière, conclut que le vapotage ne présente pas « de risque réel de tabagisme passif ».
Voilà une nouvelle rassurante et une bonne raison, s’il en faut, d’encourager Kelly Vedovelli et Benjamin Castaldi à vaper plutôt que de fumer. Et de les remercier d’avoir toujours les mots justes lorsqu’ils parlent tabac et vapotage !