La partie finale du documentaire « Tais-toi et fume ! » enfin disponible sur vos écrans !
Après un périple en Suède, seul pays au monde à compter 5 % de fumeurs seulement, puis une escale au Royaume-Uni et en France, à la rencontre des plus éminents spécialistes de la lutte antitabagique, nous prolongeons notre séjour afin de mieux comprendre les origines d’une telle réticence : pourquoi continuer sur le chemin de la répression quand la réduction des risques montre d’aussi meilleurs résultats ? La réponse en trois temps !
« Tais-toi et fume ! »
Produit et réalisé par Oneshot Media, en collaboration avec Origines [O-Rigines], média d’information indépendant consacré à l’histoire de nos histoires, le reportage d’investigation “Tais-toi et fume !” pose cette simple question : et si l’on décidait plutôt de penser la lutte contre le tabagisme à travers le prisme de la « réduction des risques » ?
La stratégie est-elle réaliste ? Efficace ? En quoi dérange-t-elle nos politiques et bouscule-t-elle l’ordre établi ? C’est ce que nous sommes partis découvrir !
Partie 1 : La méthode suédoise
IMPOSSIBLE DE PARLER DE LUTTE ANTITABAGIQUE SANS S’INTÉRESSER AU SEUL PAYS DU MONDE EN PASSE DE L’ÉRADIQUER COMPLÈTEMENT : LA SUÈDE, OÙ SEULEMENT 5 % DE LA POPULATION FUME TOUJOURS.
CAP SUR LA SUÈDE DONC, POUR UN RAPPORT COMPLET DE LA SITUATION !
Synopsis
En Europe, tous les pays membres se disent épris de la même volonté : accentuer la lutte contre le tabagisme sur leur territoire, pour espérer atteindre dans les temps le fameux objectif fixé à 5 % ou moins de fumeurs d’ici 2040 par le plan anti-cancer de 2021.
Comment expliquer, alors, qu’aucun ne se tourne vers son voisin suédois, seul à avoir réussi, et en un temps record !?
En quête de réponses, Oneshot s’est rendu en Suède à la rencontre de ces professionnels du secteur, de la santé ou encore de ces parlementaires qui défendent chaque jour ces outils de réduction des risques qui leur ont permis, en l’espace de quelques années seulement, de venir à bout du tabagisme dans le pays !
À travers leurs témoignages, découvrez comment le « snus », un produit ancestral à base de tabac, interdit partout ailleurs en Europe, est devenu l’élément clé de la lutte anti tabagique du pays ; Mais aussi comment il a évolué, jusqu’à permettre à tout Européen de découvrir une nouvelle alternative sans combustion et sans tabac, reconnue en Suède et pourtant décriée partout ailleurs : le sachet de nicotine.
Partie 2 : Le meilleur des mondes
LE CAS SUÉDOIS EN ÉTAIT DÉJÀ LE PARFAIT EXEMPLE. PARTOUT AILLEURS, LES PLUS ÉMINENTS SPÉCIALISTES LE CONFIRMENT : POUR AVANCER DANS LA LUTTE ANTITABAGIQUE, L’EUROPE DOIT RAPIDEMENT CHANGER D’ÉTAT D’ESPRIT.
LA PAROLE À CES EXPERTS !
Synopsis
Personne n’est censé l’ignorer désormais, c’est inscrit sur chaque paquet : fumer tue. Pourtant, bon nombre de personnes ignore toujours l’origine exacte des méfaits du tabagisme. On considère le tabac nocif, tout comme la nicotine, lorsqu’on devrait uniquement parler des dangers de la combustion.
Pour ne rien arranger, l’Europe elle-même semble entretenir la confusion : elle reste persuadée qu’en éradiquant tout autre produit à la nicotine, elle finira par avoir le dessus sur le tabagisme. Les propositions de restrictions à l’encontre de ces produits sans fumée s’enchaînent ainsi, sans que d’autres alternatives ne soient jamais évoquées, ou même envisagées.
Aussi, à en croire les plus grands spécialistes en addictologie, en tabacologie et en santé publique, on assiste là à la plus grande erreur jamais commise dans l’histoire de la lutte antitabagique : on se trompe d’ennemi et, ce faisant, on met en péril le sevrage et la santé de centaines de millions de personnes…
Pour Clive Bates, John Dunne, Antoine Flahaut, Anne Borgne, William Lowenstein ou encore Philippe Grunberg, partir en guerre contre les produits nicotinés sans combustion n’est pas la solution. C’est même tout le contraire.
Partie 3 : L’ennemi intime
ON SAIT DÉSORMAIS LA SOLUTION EFFICACE ET SOUTENUE PAR LES CHERCHEURS, MÉDECINS, EXPERTS DE TERRAIN ET PRÉCURSEURS DE L’ADDICTOLOGIE EN FRANCE. POURTANT, APRÈS PLUS DE 15 ANS DE RECUL ET DE DÉBATS SUR CES PRODUITS, LA RÉDUCTION DES RISQUES EN EST AU MÊME POINT : BALAYÉE D’UN REVERS DE MAIN. PARALLÈLEMENT, LA RÉPRESSION SE FAIT PLUS GRANDE ENCORE. POURQUOI UN TEL ENTÊTEMENT ?
Synopsis
Si les épisodes précédents nous ont bien appris une chose, c’est celle-ci : pour lutter contre le tabagisme dans un monde comme le nôtre aujourd’hui, il ne suffit pas d’avoir raison.
Car, au-delà des preuves et autres témoignages de l’efficacité des produits nicotinés, du moindre risque qu’ils représentent ou encore de l’importance des arômes dans le sevrage et de l’inexistence du fameux effet passerelle, on se heurte encore à des idées reçues tenaces, à un passé marqué par des scandales sanitaires et autres malversations de l’industrie du tabac. Et surtout, à notre façon occidentale de penser les addictions.
Alors, à l’heure du bilan, nous avons voulu saisir les véritables origines de ces réticences à s’engager pour la réduction des risques. Nous sommes repartis interroger Clive Bates, John Dunne, Antoine Flahault, Anne Borne, William Lowenstein ou encore Philippe Grunberg. Et, dans notre quête, nous avons commencé à cerner le vrai problème, qui s’avère bien moins sanitaire qu’idéologique…
ACHACHE LYES
Merci l’équipe pour tout vous avez fait un excellent reportage comme d’habitude.