Ce soir, les fondateurs de JSV, Florent Biriotti et David Hanin, sont partis en croisade sur TPMP. Face à la gravité de la situation, Cyril Hanouna leur a offert une tribune : l’occasion pour eux pour d’expliquer les réels tenants et aboutissants de la vape. Et surtout de faire le point sur les problèmes qu’engendreraient l’interdiction des arômes et la mise en place d’une taxe !
Deux sujets brûlants, actuellement en discussion au gouvernement, mettent la vape à mal : l’interdiction des arômes et la surtaxe des produits du secteur. De son côté, le tabac continue, quant à lui, de tuer chaque jour 220 morts en France. Et personne ne semble s’interroger sur l’inefficacité des mesures censées enrayer la cigarette dans le pays. Souhaitant faire la lumière sur le sujet, l’animateur star de C8 a invité sur son plateau de TPMP nos représentants JSV et le Dr Bruno Megarbane.
JSV s’est toujours revendiqué comme une opération militante, luttant en premiers lieux contre le tabagisme, via l’information et l’éducation à la vape comme moyen de sevrage. Mais souhaitant aussi mobiliser et sensibiliser les politiques, comme ce soir, face aux chroniqueurs de Touche Pas à Mon Poste. Devant le public de TPMP, Florent et David ont ainsi souligné l’importance des arômes dans la vape, dans le cadre d’un sevrage tabagique réussi, et ont manifesté leur refus d’une taxe injuste sur ce produit qui, depuis sa création il y a 15 ans, a contribué à sauver des millions de vies chaque année.
Face à notre équipe JSV, ce soir, le Dr Bruno Megarbane. Chef du service de réanimation médicale à l’hôpital Lariboisière, Professeur de médecine de soins intensifs et toxicologue, le Dr Bruno Megabane s’est fait connaître du grand public lors de la pandémie de Covid-19. Selon lui, la vape est une bonne alternative au tabac et il vaudra toujours mieux vapoter que fumer !
Si professionnels de la vape et de la santé, à la lumière de moult études scientifiques, s’accordent pour entrevoir la vape comme un formidable outil de sevrage tabagique, comment est-ce possible que le gouvernement n’entende pas raison ? Comment expliquer que le ministre de la Santé n’arrive pas à la conclusion qu’interdire les arômes et taxer la vape engendrerait une hausse du nombre de fumeurs ?
Ainsi, la théorie de la passerelle a beau avoir été contredite par l’Organisme Public Français chargé de surveiller les addictions, la vape reste acculée. Au nom du principe de précaution, tout est bon pour la rendre moins attractive. Quitte à priver les 14 millions de français toujours fumeurs de ce qui est, à ce jour, la meilleure alternative au tabac.
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