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maladie vape

Passer à la vape quand on est malade…

Si, comme moi, vous avez été fumeur pendant longtemps, vous connaissez l’effet de la clope quand on est enrhumé ou grippé.

Si vous n’avez pas lu le premier épisode, c’est par ici.

Et l’épisode 2 par là.

La gorge qui gratte en permanence, la maladie qui dure pendant 1 semaine de plus que nécessaire, le goût de la fumée qui dégoûte… Et pourtant, ce satané besoin de nicotine qui frappe à la porte en permanence.

J’ai mis un peu de temps à vous partager cet épisode 3, parce que je sors justement d’une semaine de rhume bien costaud. D’ailleurs, je vous écris ces lignes encore la goutte un peu au nez.

Quand j’ai commencé à sentir ma gorge qui grattait et mon nez un peu pris, je me suis dit : “Voilà l’occas’ de voir si mon rhume passe plus vite quand je fume moins de clopes, et que je vape à la place”. C’était sans compter l’addiction…

Premier jour de rhume, je saisis mon PicoX (qui ne me quitte plus), je tire… et là, explosion de toux. Ça pique la gorge, à en faire presque mal, et je crache mes poumons. Littéralement impossible de vaper.

infirmière cigarette Je regarde du coin de l’oeil mon paquet de clopes, et je me dis que, tant pis, pour aujourd’hui, ça sera des cigarettes. Certes, pas autant qu’avant : je n’assassine plus un paquet par jour.

Mais pendant une semaine, je n’arrivais à vaper qu’à partir de 17h, après m’être détruit de nouveau les poumons au goudron et à l’acétone.

Eh oui, étrange : une cigarette passait bien mieux que ma e-cig.

Autant vous dire que j’étais bien dégoûtée.

Dégoûtée de me dire que j’allais peut-être ruiner tout ce beau boulot, de passer de 20+ à 5 clopes par jour.

Que l’addiction allait être plus forte, et que j’allais recommencer à payer mes 8 euros 40 par jour.

Que, finalement, c’était ma nature profonde qui parlait : au plus bas de ma santé, c’était vers la clope que je me tournais naturellement.

Bon, si je suis là à vous raconter ce coup de mou, vous l’avez sans doute compris : c’est que j’ai repris les bonnes habitudes de la vape désormais.

Au bout de 5 jours à cloper comme un pompier, qu’est-ce que ça faisait du bien de reprendre une fumée douce, chaude et épaisse !

Au yoga, je sens la capacité pulmonaire que je retrouve petit à petit. Vous ne le savez peut-être pas, mais le yoga repose aussi sur les techniques de pranayama : les exercices de respiration. Grâce à ma nouvelle hygiène de vie, c’est désormais un énorme kiff que de faire de la respiration alternée… là où avant, j’avais l’impression d’être en apnée à 20 mètres sous l’eau.

Hier, je suis partie boire l’apéro avec des amis en terrasse avec un paquet de 2 clopes seulement. Je me suis dit “Si l’envie me prend, je taxerai les autres”. Je suis rentrée à onze heures… avec une clope restante dans le paquet. Sans aucun effort à faire pour me limiter. Championne.

Autre fait plutôt amusant : depuis cette rechute, je deviens de moins en moins tolérante à la cigarette.

En terrasse, je me surprends à pincer le nez quand un effluve de clope vient vers moi.

Chez moi, après avoir fumé ma clope du matin (celle que je n’arrive définitivement pas à éliminer…), je trouve que ça sent vraiment mauvais.

J’en ferais presque chier une de mes meilleures potes, qui fume comme un pompier, et à qui je promets qu’une petite box toute simple pourrait bien lui sauver les poumons. (Heureusement, elle m’aime beaucoup, et me passe ces moments d’Ayatollah de la Vape.)

Symbole même de cette intolérance : je n’arrive même plus à vaper mon Honey Blend. Je tourne au NKV Red Juice H24, qui me fait toujours autant plaisir.

Tout à l’heure, je vais passer au Pipeline Store Villiers, et tester sur leur bar à juice d’autres goûts un peu fruités. Autant, à mon premier passage, le NKV Purple ne me donnait pas trop envie ; autant, maintenant, je sens que je vais me laisser tenter…

 

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