Alors que les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, vous et votre cigarette électronique, entre le saumon et la dinde, allez vous retrouver immanquablement au cœur de débats clivants sur la vape. Nous vous proposons une approche par la « Réflexion » (et totalement partisane) pour enrichir votre argumentaire lors de ce qui peut s’annoncer comme des conversations houleuses.
Ce texte, s’inspire et se nourrit des réflexions menées par certains de nos intellectuels et philosophes sur la pandémie du COVID 19, qui à bien des égards peut se comparer aux traitements politiques et médiatiques à propos de la vape, toutes proportions gardées évidemment, le tabac tuant plus de 8 millions de personnes par ans dans le monde… ce qui le place en tête de toutes les pandémies, maladies, et guerres confondues en termes de victimes.
Ne voyez pas de cynisme dans cette assertion, mais il est vrai que le COVID 19, avec ses 3,5 millions de victimes recensées dans le monde, fait pâle figure face au tabagisme… Pourtant force est de constater qu’il ne bénéficie pas de la même volonté affichée de l’éradiquer. La pandémie de Covid étant incontestablement la star médiatique, politique et scientifique du moment.
Pourtant, il existe de nombreuses similitudes entre ces deux fléaux, en premier lieu, une narration hégémonique de la part des politiques et de leurs relais médiatiques.
Réflexion sur la narration.
La manière de raconter l’histoire, la narration, est le fondement de toutes réflexions et des actions qui en découleront.
Si la prémisse à cette narration est fausse – la cigarette électronique est aussi nocive que le tabac – ou encore – c’est une porte d’entrée vers le tabagisme – alors tout le reste est faux.
Des études, qui ne sont nullement remises en causes, y compris par les détracteurs de la vape, affirment que la cigarette électronique est 95% moins nocive que le tabagisme et que s’il y a un effet passerelle, il est à l’inverse, à savoir de la cigarette de tabac, vers la vape.
Ainsi, commencer la narration par une phrase dénuée de toute rationalité est une violation du principe de non-contradiction d’Aristote…
Une chimère sémantique, visant à assimiler la cigarette électronique au tabagisme et à ses dangers sanitaires, alors que la vape est un outil de sevrage au tabac, sans combustion et sans tabac, réduisant drastiquement les risques pour la santé liés à la consommation de ce dernier.
Un concept ontologique visant à expliquer la vérité première de l’usage de la cigarette électronique serait donc novateur et nécessaire.
Mais les détracteurs de la cigarette électronique, l’OMS en tête, ne sont pas à une chimère près pour défendre leur position idéologique anti-vape. Et profitent sans vergogne de leurs statuts de référent, entrainant un véritable naufrage intellectuel, médiatique et sanitaire, de par leur influence hégémonique, dans leur croisade contre la vape.
Réflexion sur l’influence.
La vérité est sous influence, à l’instar d’une force mécanique, une influence, plus une influence, plus une influence, affectent terriblement la vérité, pour tendre vers le mensonge, nous interrogeant sur l’idée même de la corruption des élites médiatiques, scientifiques, intellectuelles et politiques du moment.
Une influence néfaste ou tout au moins négative sur la vérité qui n’est pas sans rappeler ce nouveau totalitarisme intellectuel qui se met en place.
“Plus le mensonge est gros, mieux il passe”. La citation fut attribuée à Goebbels, sinistre individu, qui écrivait des poèmes et des livres pour enfants, mais que tout le monde connaît comme étant ministre de l’Information et de la Propagande sous le IIIe Reich.
Que pensez alors d’une Commission européenne anti-cancer, qui le 09 décembre proposait d’interdire les arômes d’un produit non cancérigène, le rendant moins attractif, alors que cette même commission le reconnaissait comme un outil de sevrage tabagique, en nous expliquant qu’il serait une porte d’entrée vers le tabagisme des plus jeunes, ligne défendue par l’OMS ?
Nous serions de fait en droit de nous interroger sur l’éthique des autorités sanitaire et politique avec cette question : qu’en est-il de la vérité scientifique et de l’éthique ?
Maîtres de l’influence sur la narration, ces idéologues, fort de ce dicta, imposent leurs vérités à tout un chacun, avec une forme d’instrumentalisation de la science à travers les médias et les réseaux sociaux.
Avec l’exercice de cette censure, la politique gouverne la science. Elle contrôle les données et l’information en découlant, sans possibilités de les contrer, puisque la vape est interdite de communication.
Un totalitarisme idéologique.
Cette interdiction de contradiction de la narration officielle, nous emmène tout naturellement à un nouveau questionnement – et si par le plus grand des hasards, vous vous retrouviez à contredire cette narration sous influence – ne seriez-vous pas de facto catalogué comme un complotiste ?
Le mot complot, existe depuis des siècles, il est très utilisé par le grand historien grec Thucydide pour décrire la vie politique de la Grèce de son époque.
En revanche le mot complotisme est un mot relativement récent, inventé par la CIA après l’assassinat de JFK à Dallas. Tous ceux qui contestaient le narratif officiel, tous ceux qui essayaient de déconstruire cette narration gouvernementale, se faisaient discréditer, diffamer en étant qualifiés de complotistes.
Cette qualification a ressurgi à l’occasion des attentats du 11 septembre pour les mêmes raisons.
Toute personne remettant en cause la version officielle… se retrouvant immédiatement associée à cette notion de complotisme.
Peu importe la véracité ou non de ces théories, l’étiquetage de complotiste stoppant toute forme de narratif. Inutile donc de prétendre que l’OMS ou que la Commission européenne servent d’autres intérêts que ceux des citoyens et de leurs santés. Même si, une majorité d’études scientifiques portées par des experts de renom démontrent le contraire, les relayer fait de vous un immonde complotiste, au même titre que ceux qui défendent la théorie de la terre plate, vous discréditant vous et les preuves scientifiques qui étayent vos propos.
La liberté d’expression perdant alors tout sens, forçant les auteurs de ces questionnements hors normes officielles, à la clandestinité de leur propos. Dès lors la démocratie est mise à mal, la pensée unique étant de fait et par définition l’apanage des dictatures.
Et face au totalitarisme idéologique, quoi de plus normal que de rentrer en résistance, non, vous n’êtes pas de « stupides » complotistes, mais des résistants face à une idéologie hégémonique, qui favorise finalement le tabagisme qui est pourtant censé être son ennemi, en niant toute autre réflexion que la sienne.
L’oligarchie médiatique et intellectuelle actuelle ne laissant à l’opposition que les relais médiatiques et bien souvent confidentiels d’internet ou des réseaux sociaux, déjà pour la plupart sous leur contrôle, donnant un semblant policé de liberté à l’expression populaire ou contradictoire, il est bien difficile de faire entendre une autre vérité ou de lancer un débat contradictoire.
Tant que nous n’aurons pas un journalisme digne de ce nom, des intellectuels lucides et intègres, les deux allant de pairs, les intellectuels, hommes politiques aussi érudits, brillants soient ils, s’ils sont mal informés, ne pourront pas prendre les bonnes décisions.
Cette réflexion ne crée pas d’elle-même une vérité, ce qui crée la vérité c’est la politique et la science. Elle est en réaction au discours péremptoire des politiques et organisations de santé qui avec la complicité médiatique, distille une idéologie folle auprès des citoyens des nations.
Et n’oubliez-pas d’alerter et d’informer vos députés pour défendre la vape sur : jesuisvapoteur !
Bertrand
Chapeau ! super article !!
Alors, tout ça dans quel but puisque les démocraties ont théoriquement pour principe que les décideurs oeuvrent pour le bien commun?